Son combat pour la paix
A la fois inventeur, développeur d’idées et entrepreneur particulièrement polyvalent, Mohamed Ayachi AJROUDI s’engage désormais politiquement pour son pays, notamment avec la conception de son parti politique Le Mouvement du Tunisien pour la liberté et la dignité, lancé en 2013.
Très attaché à ses valeurs profondes et à celles de son pays d’origine, il s’implique avant tout pour le peuple et pour redonner toute sa grandeur aux terres de son enfance.
Le début d'une carrière politique
En juin 2013, après avoir longuement tenté d’infléchir les choix économiques et sociaux du ministre de l’intérieur de l’époque Ali Larayedh, il décide de passer à l’action. Il lance alors son propre parti politique, Le Mouvement du Tunisien pour la liberté et la dignité, tout en tissant une alliance stratégique avec le ministre de la Défense et des Affaires Etrangères. Pourtant quelques mois plus tard et à la surprise générale, il se retire de la course aux élections législatives déclarant « Je n’ai jamais couru après les postes […] je suis arrivé à la politique pour servir mon pays et non pas m’en servir, que mon ambition pour la Tunisie est d’ordre social, économique et énergétique, que mes motivations sont patriotiques et pas du tout mercantilistes, que malgré les 20 000 signatures collectées, la bataille est économique et sociale, que si je ne suis plus candidat au palais du Carthage, je reste un soldat pour la Tunisie ».
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De fortes préoccupations en faveur de la paix
Après une carrière particulièrement fleurissante en tant qu’entrepreneur et inventeur à l’international, Mohamed Ayachi AJROUDI fini par revenir à ses premières amours, en s’engageant dans la vie politique de la Tunisie, sur laquelle il porte un regard lucide et sans complaisance. Il dira « ce beau pays que j’ai quitté en pleurant quand j’avais quatorze ans, je ne peux pas arriver à accepter ce qui lui arrive aujourd’hui. Il y a le feu à la maison, la Tunisie brûle ! ». La dette nationale ayant explosé, il met en cause l’incompétence d’une fonction publique hypertrophiée avec notamment 10 millions d’habitants pour 800 000 fonctionnaires, ce qui est énorme. A ce désastre s’ajoute également celui de la Libye dont il pense que le sort peut conditionner celui de la Tunisie. En industriel particulièrement avisé, il ne voit d’avenir pour la Tunisie que dans d’ambitieux projets d’infrastructures ferroviaires et portuaires, un domaine qu’il maîtrise parfaitement puisque c’est ici qu’il a démarré. Fervent défenseur de la paix entre les pays, il est récompensé, en 2017, par 40 tribus Libyennes pour son aide et son assistance à la recherche de la paix.